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Pourquoi "la bande à Booh Booh" ?
Jacques-Roger Booh-Booh fût le représentant du Secrétaire général de l'ONU, Boutros
Boutros-Ghali en 1994 au Rwanda, pendant le génocide. Il se présente comme un ami
personnel de Boutros-Ghali et comme le supérieur hiérarchique du général Dallaire, patron
opérationnel de la mission des nations unies pendant le génocide au Rwanda. Les deux
hommes ne s'entendirent pas dès le début. Le général Dallaire, est un canadien
francophone et anglophone. Jacques Roger Booh Booh est un africain de la francophonie. Il
a quitté rapidement le Rwanda pendant le génocide, laissant Dallaire devenir, de fait, le
seul chef de la Minuar.
Les historiens qui ont étudié le déroulement du génocide ont remarqué que dès les
premiers jours, les fax de Dallaire reflétaient la situation génocidaire, alors que ceux
de Booh Booh tentaient de faire croire à une simple guerre civile, thèse mainte fois
reprise pas les Français et dont la variante exponentielle fût la théorie du double
génocide... reprise aujourd'hui par cette "bande à Booh Booh".
Il se trouve, et ce n'est certainement pas un hasard, que Jacques-Roger Booh Booh, Robin
Philpot, Charles Onana sont tous édités par la maison Duboiris et ont tous en commun
d'être originaires de pays de la francophonie, dont Boutros-Ghali fût après le génocide
au Rwanda le président, et de lutter pour défendre l'honneur de la France dans des écrits
qui nous semblent des plus contestables, et même carrément propagandistes. D'où notre
dérision sans retenue à leur égard... mais les nouveaux venus de 2005 et 2006 ont du
diversifier leurs éditeurs.
La bande à Booh-Booh, dont la liste des membres n'est pas exhaustive, sont des gens qui
volent au secours de la réputation du parrain de la Françafrique et n'hésitent pas à
reprendre à leur compte tout ou partie de la propagande génocidaire du Hutu-power qui a
déjà servi à inciter les masses rwandaises au génocide des Tutsi. Ils sont blancs et
noirs. Ce n'est pas une question raciste, c'est une question de comportement politique et
probablement de capacité d'indépendance politique. Ils représentent ce que Dominique de
Villepin appelle "la diplomatie d'influence", celle qui prétend être plus forte que la
vérité sur la politique de la France. C'est aussi Dominique de Villepin qui parle "des
génocides au Rwanda" comme François Mitterrand et surtout Bernard Debré qui a sorti en
avril 2006 un livre au titre particulièrement partial et négationniste : "La véritable
histoire des génocides rwandais".
Nous allongerons donc la liste si nécessaire !
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Le scoop du siècle, par Jacques-Roger Booh Booh :
*Remarques sur le texte de Booh-Booh :
Les accords d'Arusha ont été définitivement signés en août 1993 et non pas en 1992
(date de début des négociations) comme le dit Booh-Booh... le mieux à même selon lui de
connaitre la situation du Rwanda afin "d'éclairer l'opinion sur les événements qui
ont plongé le Rwanda dans le désastre" de par sa position de responsable
diplomatique de la Minuar.
Voilà qui confortera hélas ceux qui pensent que ce Monsieur est incompétent.Il n'est
pas exact non plus de dire que la France aurait signé des accords de défense avec le
Rwanda. Voir ce document de la CEC.
Plus nous lisons ce texte plus nous relevons des erreurs, précisément sur le terrain de
compétence directe de Jacques-Roger Booh--Booh, plus nous devons reconnaitre que nous
sommes de très mauvaise foi !
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Les compliments du fondateur de la légion d'honneur à un
célèbre diplomate
Et si l'on parle de diplomatie et de légion d'honneur, pourquoi ne pas rappeler ce que
Napoléon aurait dit à son super diplomate Talleyrand :
"Vous êtes de la merde dans un bas de
soie."
C'était dans le château de Saint-Cloud le 28 janvier 1809... C'était ce qui s'appelle
enfoncer le clou !
Pourtant le célèbre diplomate avait montré du courage et de l'intelligence... et beaucoup
d'habileté pour déjouer des crises internationales. Mais il est vrai qu'il n'a pas évité
Saint-Hélène à Napoléon.
C'était sans doute une insulte générique et prophétique !
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Toute cette bande mériterait ...
... la légion d'honneur
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Les plaintes des Rwandais contre l'armée française jettent le trouble dans la piscine :
Les sites internet de la bande à Booh Booh -
Ils montrent la cartographie mouvante du négationnisme de la complicité de la France
dans le génocide.
- Le site de l'association
France-Turquoise
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Le site fermé du rassemblement de la
peur
(lancé le 29 mai 2006 - Très partial. Son chapitre parution très orienté et très réduit, à caractère
publicitaire, était à comparer avec la bibliographie beaucoup plus objective que nous
publions. Il ne citait pas non plus les travaux de la Commission d'enquête citoyenne,
ni les autres nombreux rapports que nous publions); C'était un site orienté vers la
propagande de l'armée française et de ses relais politiques et médiatiques.
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Le site fermé de
Hogard
Une tentative qui a échoué ? Il semble d'après le courrier de Hogard qu'il n'assume pas
les dérapages inimaginables de ses soutiens dans les forums, qu'il attribue aux
"provocateurs" et aux réseaux de menteurs qu'il aurait pu ainsi découvrir. (Comme nous
existions avant son site, il semble que nous ne soyons pas de ceux qu'il a découvert ou
alors son "intelligence économique" fonctionne très mal). Il est plus probable qu'on
ait exigé de lui qu'il ferme ce site peu à l'honneur de l'armée, mais bien en phase
avec ce que nous soupçonnons de Turquoise.
(Lancé semble-t-il à l'automne 2005 - exigeait le 27 mars 2007 une autorisation
- Hogard a ensuite confirmé la fermeture par une lettre qu'il date du 15 mars 2007 )
Hogard est de ceux qui doivent se battre, avec ses collègues responsables de secteurs
de l'Opération Turquoise, pour ne pas servir devant la justice française de fusible aux
principaux stratèges parisiens de la politique française au Rwanda
Ils confirment clairement qu'ils sont du côté des alluvions du Hutu Power génocidaire.
Bien entendu Ils répandent à gogo et sans aucune preuve, pour se rassurer peut être, que
nous serions "une courroie de transmission du FPR". Ce besoin de nous amalgamer au FPR
n'est -il pas probablement une clé de leur dialectique, sans laquelle tout s'écroule ?
Dialogue interrompu avec Jacques Hogard (3-4
juin 2006) Le dialogue fut engagé bien qu'il estime cette page "fantasmatique et
dérisoire". Voir aussi ce long dialogue entre
l'internaute Marianne et les cerbères de son site, qui précéda le notre.
Selon Jacques Hogard le génocide procéderait d'un simple "ordre de conduite" militaire,
un détail tactique de l'armée rwandaise en quelque sorte. Encore une trouvaille
sémantique pour tenter d'arracher ce génocide à sa véritable signification. Il est sans
doute si infime, ce détail, que cela expliquerait qu'il ait été confié aux miliciens !
Écouter cette
émission de Géopolitique du 9 décembre 2006 sur RFI.
"Moi je m'inscris dans la continuité de ce que vient de dire André Guichaoua . Je
reformulerai simplement sa réponse avec laquelle je suis entièrement d'accord. Je dirai
simplement qu'une planification qui démarre après le début de l'action, pour moi ce n'est
pas une planification, pour moi, en termes militaires hein, c'est un ordre de conduite ."
(Jacques Hogard - 2 ° partie de cette émission)
Jacques Hogard confirme ainsi ses qualités d'agent de la guerre de l'information qui,
mine de rien, à l'humble abri du spécialiste André Guichaoua, donne l'impression
d'observer un "ordre de conduite" falsificateur, qui aurait commencé lorsque la France
pesa de tout son poids pour que le Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR)
n'instruise que sur les faits datés du 1 janvier au 31 décembre 1994. (Lire Justice à Arusha d'André-Michel Essoungou). Les faits
antérieurs qui pourraient établir la planification du génocide, alors que l'armée
française étaient notoirement imbriquée à la définition de la stratégie militaire du
régime Habyarimana, sont donc hors du champ de compétence du TPIR. Les spécialistes
officiels français de la bande à Booh Booh plaident de toute leur force sur un génocide
spontané à la suite de l'attentat du 6 avril 1994.
Le conclusion de Jacques Hogard dans ce débat est amusante. Il souligne que le TPIR
serait discrédité. C'est excessif et intéressé, malgré les graves défauts de ce tribunal.
Mais surtout la France n'est-elle pas dès l'origine l'un des acteurs qui a le plus oeuvré
pour tenter de saper le travail de ce tribunal en imposant la réduction sa période
d'instruction à l'année 1994 ? Les autorités actuelles du Rwanda sont à l'origine
indirecte de la création du TPIR, car il fût la réponse internationale "décalée" par
rapport à leurs demandes d'assistance judiciaire après le génocide. Le Rwanda qui a voté
contre l'institution du TPIR, n'est-il pas finalement le plus cohérent dans cette affaire
?
Par l'alibi de l'institution du TPIR on a refusé au Rwanda de soutenir sa propre justice,
puis on a encadré les poursuites à la seule année 1994 pour éviter de mettre la France
dans une situation difficile, enfin on a sapé son fonctionnement pour éviter de mettre au
grand jour judiciaire les complicités internationales, diplomatiques, militaires,
financières, dont ont bénéficié les génocidaires rwandais pendant le génocide. Le système
judiciaire rwandais débordé, non soutenu à la hauteur de sa tache, a créé une justice du
pauvre, les Gacaca, que trop d'institutions internationales ou d'ONG critiquent de façon
tout à fait amnésique de l'histoire du soutien de la communauté internationale à la
Justice rwandaise.
Jacques Hogard est au service d'une cause qu'il voudrait plus belle.
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Dérision... petites vérités et vrais problèmes
Les larmes de l'honneur ou les armes de l'horreur ?
Parmi cette bande on retrouvera certains membres des troupes françaises qui ont
crapahuté dans Turquoise comme le colonel Hogard qui juge péremptoirement
François-Xavier Verschave "malhonnête", ainsi que Patrick de Saint-Exupéry... Si vous
écoutez son interview sur RFI, vous percevrez l'abime qu'il y a entre ce qu'il exprime
et ce que nous comprenons : écouter Hogard sur RFI (1 avril 2006).
Soit il est ingénument sincère et ne perçoit pas du tout les enjeux stratégiques
qu'il a servi, soit il est particulièrement malhonnête et habile. Mais il est
stupéfiant de constater qu'il reconnait avoir facilité l'exfiltration des
génocidaires, alors que son mandat sous chapitre VII lui donnait le pouvoir de les
arrêter. Il n'avait manifestement aucune conscience de devoir faire de la police
internationale. Ce qui le motivait c'était l'ennemi, celui qui le met lui-même en
danger, c'est à dire, dans son esprit bien imprégné par la propagande française, le
FPR et non pas ces génocidaires qu'il laisse filer et va jusqu'à demander lui-même
aux zaïrois de rendre leur frontière "poreuse" pour qu'ils puissent s'échapper ! Il
ne faut pas oublier non plus que Hogard était le moins exposé au FPR de Turquoise,
puisqu'il était en arrière du front. Son livre est écrit dans le plus pur style des
"Bob Morane", ce héros pour adolescents en mal de pureté héroïque. Le véritable
héroïsme militaire aurait été d'arrêter les génocidaires et non pas de s'arranger
pour les laisser filer ! On voit où mène cet infantilisme : jusqu'au négationnisme
par le "double génocide".
Rappelons que ce n'est pas le nombre de morts qui fait un génocide (6 millions de
Juifs sur 60 millions de morts en 39-45), mais l'intention des tueurs. Même s'il en a
conscience pour faire bonne mesure, Hogard parle très peu de cette volonté
exterminatrice des Tutsi, planifiée par un régime que son armée a servi,
caractéristique d'un génocide qui était bien présente au Rwanda. Des massacres,
toutes les armées en font hélas, le FPR comme les armées française, américaine ou
israélienne ou autre.
Mais parler "de génocide des Hutu" est un mensonge. J'invite Hogard à aller au
Rwanda, il constatera que ceux qui avaient une carte d'identité Hutu sous le régime
Habyarimana y sont revenus du Zaïre par centaines de milliers, crevant les écrans de
toutes les télévisions du monde, et n'ont pas été exterminés au Rwanda ou au
Zaïre/RDC. Un peu de mesure et de fermeté dans les jugements ne feront pas de mal à
ces idéologues pour adolescents idéalistes. Mais c'est vrai il y eu aussi des
massacres dont le FPR est responsable, mais d'une nature hélas trop habituelle aux
armées.
Et j'invite le Colonel Hogard à s'informer un peu plus : la France a voté la
réduction de la Minuar le 21 avril 1994 à l'ONU, en divisant pas dix son effectif. Il
peut s'en indigner avec nous.
Dans ce registre négationniste la liste des nouveaux s'allonge : Bernard Lugan,
Pierre Péan, il parait même que l'un des gamins de Michel Debré, cet ancien ardent
promoteur du camp du Larzac, vient d'apporter sa gourme en avril 2006. On peut être bon
médecin et piètre politique, voire un propagandiste au service du sauvetage d'une
France fourvoyée qu'il ne faut pas "salir"... avec les saletés de ses responsables.
Cela nous rappelle que si François Mitterrand avait bloqué l'extension du camp
militaire du Larzac, il avait laissé toute l'Afrique francophone aux militaires
français. On voit le résultat. C'est sans doute ce que Michel Charasse appelle
l'autorité de l'État en claquant des bretelles !
On peut remarquer aussi qu'on n'entend plus parler de Stephen Smith depuis qu'il a
été contraint de quitter Le Monde, à part une petite aumône de Péan mais qui peut aussi
signifier un lien de subordination... ça ne devrait pas durer... "l'ingénieur de l'âme"
espère sans doute que cette rafale de livres mette Survie à terre. Son silence inhabituel
et prolongé pourrait suggérer qu'il en serait même peut être le grand calife. Il entend
probablement se réserver le coup fatal... un truc dans le genre "blanc silence"
maintenant qu'il est sûr que François-Xavier Verschave ne lui répondra plus. En fait il
découvrira un livre posthume intitulé "pourquoi Le Monde a perdu Stephen Smith ?"
Pour Bernard Lugan reportez-vous au site des étudiants de l'université de Lyon III, un phénomène !
Le menhir de la bande à Booh-Booh : le bazooka de Pierre Péan
Pour le "Maréchal" Péan, auteur d'un livre au titre dont le lapsus est remarquable
: "...blancs menteurs", qui nous fait une grande publicité tellement ses ficelles sont
grosses, nous serions "le cabinet noir du FPR en France"... rien que ça ! Mais il a
débusqué nos mensonges, vous êtes avertis.
Ne vous emballez pas. C'est édité aux "mille et une nuits", c'est la nouvelle trouvaille
de Shéhérazade pour rester vivante une journée de plus... un effort pathétique pour
soutenir la bande et surtout le général Quesnot et l'État major français de 1994...
Vous y apprendrez que des Tutsi ont génocidé les Hutu. Si vous aviez compris le contraire
c'est que vous êtes désinformés par Survie ET DONC le FPR.
Inutile de perdre votre temps avec ses mille et une " péaneries ", comme dit un de ses
admirateurs, 2 par pages et je suis gentil. Il cite plusieurs fois Lugan, Philpot et
Onana, une consécration ! Vous pouvez aussi lire ceci pour
approfondir "la non réponse de Survie" proclamée par le grand Hubert Védrine.
Notre conseil : "L'inavouable" de Patrick de Saint-Exupéry est particulièrement édifiant
à lire, mais pas recommandé par l'État major français. Désolé de vous donner de très
mauvais conseils.
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Les "Grand-croix de la Légion d'honneur" sont réservés aux parrains, les
"vrais" français :
De Gaulle, François Mitterrand, Jacques Chirac, Dominique de Villepin, Hubert Védrine,
Jacques Foccart le chef de patrouille, Bruno Delaye, Marlaud, Martres, les militaires
Quesnot, Lanxade, Huchon, Rozier, Tauzin, etc. il y en a une bonne centaine...
Un membre identifié de la bande à Booh Booh : Afrique Éducation. C'est ce
qu'on appelle une courroie de transmission directe, comme on disait de certains
organismes dans les régimes communistes... en France on fait nettement plus durable que
le monde soviétique ! D'ailleurs à l'instar de Charles Onana qui se dit "journaliste
indépendant", "Afrique Éducation" se dit "bimensuel indépendant" ... c'est fou ce que
les gens dépendants ont besoin de souligner le contraire, comme ces gens sans autorité
qui ne cessent de dire "je suis le chef"... Je crois que nous venons de découvrir un
nouveau complexe après celui d'oedipe : le complexe de Booh Booh, qui s'exprime ainsi
Je suis le chef parce que je suis indépendant... Ne regardez pas les ficelles qui me
manipulent, ce sont des artifices mis en place par mes ennemis. Afrique Éducation à
quoi ? A la servilité ? On se paye de mots en se payant sur notre crédulité ! On nous
confirme d'ailleurs que ce canard est d'origine camerounaise et serait financé par Paul
Bya... ce qui montre une fois de plus que le Cameroun officiel est bien l'un des
sanctuaires du négationnisme de la Françafrique, une arrière cuisine du négationnisme
français. Massacre des Bamileke a réduire au silence ?
Une sénatrice américaine, Cynthia McKinney, fait aussi partie de ces courroies
de transmissions. Ce qui ne signifie pas que l'hypothèse de la responsabilité des
USA dans l'attentat du 6 avril 1994 au
Rwanda soit forcément farfelue. Ce qui est farfelu, ce sont les méthodes
intellectuelles employées par cette "bande à Booh Booh" : "Ce qui s'est passé au
Rwanda n'est pas un génocide planifié par les Hutu. " On dépasse la mauvaise foi
pour dire de telles énormités ! Ce n'est plus de la mauvaise de foi, c'est un calcul
négationniste pour sauver l'apparence.
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Charles Onana, l'éditeur Duboiris
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Une maison d'édition très
spéciale qui publie des auteurs proches des thèses du gouvernement français
Cette maison d'édition créée en 2003 a 7 et 1 titres à son catalogue. Rappelons que
Charles Onana est un journaliste camerounais qui se présente avec beaucoup d'insistance
comme "journaliste d'investigation indépendant"... comme Pierre Péan.
On peut souligner que ce que nous avons remarqué devenait trop voyant et cette maison
d'édition commence à se diversifier en 2006... Cela ne trompera pas "l'ennemi" de cette
guerre de l'information.
Lire l'article complet
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Le négationnisme sur Wikipédia
Toute une équipe s'active depuis quelques mois sur l'encyclopédie Wikipédia pour porter
la bonne parole de la bande à Booh-Booh... Powermonger, Lucrece, Felipeh, sans parler
d'obscurs encore plus anonymes sans pseudo....
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