Le 27 mars 1997 le Cercle Menachem Taffel a été créé lors d’une conférence inaugurale à laquelle participait le philosophe strasbourgeois Philippe Lacoue-Labarthe.
Quatre ans plus tard, le Cercle a permis de faire revivre le nom de Menachem Taffel et son bilan est très positif, non pas tant en nombre d’adhérents qu’ en termes de vitalité et de créativité.
Une collaboration étroite s’est instaurée avec le magazine « Golias » qui a relayé les propos de nos conférenciers : Rony Brauman (No 72 de mai-juin 2000) et Israël Nisand (No 74-75 de Septembre-décembre 2000).
La revue « Pratiques » nous a aussi ouvert ses colonnes.
Tamara Thiessen a présenté notre Cercle aux 300.000 lecteurs de « The Montreal Gazette », le 1-06-2000 et à ceux (500.000) du « The Singapore Straits Times » le 16-09-2000.
Le 30 avril 2000,nous avons pu nous recueillir pour la première fois devant l’Institut d’Anatomie Normale aux Hospices Civils de Strasbourg pour honorer la mémoire des victimes du Professeur Hirt.
Nous avons participé le 23 septembre 2000 à la 2ème marche Le Struthof-Le Hohwald à la mémoire du Docteur Heïdi Hautval, déportée à Auschwitz pour avoir pris la défense d’ une famille juive. Nous vous donnons rendez-vous dans 2 ans pour la 3ème édition de cette marche.
Nous sommes intervenus auprès de la direction d’Aventis au sujet de ses liens avec I.G.Farben. Vous trouverez sa réponse ainsi que le dessin offert au Cercle par notre ami « Dédé ».
Nous avons salué la reconnaissance du génocide Arménien par l’état français.
A un moment où il n’y a plus de représentant fasciste au conseil municipal de Strasbourg, notre vigilance doit demeurer en éveil car le nombre des
sympathisants d’extrême droite n’a pas baissé, loin de là.
Aussi, vous apprécierez la diversité du cycle de conférences que nous
vous proposons .
Chers amis, nous vous rappelons que le Cercle ne peut fonctionner qu’avec votre soutien et vos encouragements.
Aussi, pensez à régler votre cotisation dont le montant est fixé à 200,00 Francs et à nous faire partager vos révoltes et vos espérances.
Cordialement, G. Federmann